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Faudra-t-il acheter des actions Française des Jeux ? Ce que l’on peut dire aujourd'hui
information fournie par Le Revenu 18/10/2019 à 19:55

Le commissaire français aux participations de l’État, Martin Vial. (© AFP)

Le commissaire français aux participations de l’État, Martin Vial. (© AFP)

Le gouvernement prépare une vaste campagne afin d’inciter les particuliers à participer à l’introduction en Bourse du champion de la loterie. Croissance régulière, rentabilité élevée, politique de dividendes généreuse : la FDJ a des atouts à faire valoir en Bourse. Reste à connaître le prix de l’action.

Tout est prêt ou presque pour la privatisation de la Française des Jeux (FDJ). Une étape clef - quoique sans surprise - a été franchie le 17 octobre au soir, avec l’enregistrement auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF) du document de base du numéro deux européen de la loterie derrière l’italien Lottomatica.

Il lui reste à obtenir le visa du gendarme boursier pour son prospectus d’introduction, fixant les modalités de la mise sur le marché. La période de souscription devrait être ouverte du 7 au 19 novembre compris, en vue d’une première cotation de la FDJ le 21 novembre.

Pour l’heure, aucun élément précis de valorisation n’a filtré. On sait tout juste que l’État compte tirer «plus d’un milliard d’euros» de la vente de 52% du capital de la FDJ - sa participation devant être ramenée de 72% actuellement à 20% à l’issue de la privatisation.

Une chose est sûre, le gouvernement espère assurer à cette privatisation «le plus grand succès possible auprès des particuliers», a insisté lors d’une conférence de presse Martin Vial, le commissaire aux participations de l’État.

Décote et actions gratuites pour les particuliers

Dans cette optique, deux dispositifs incitatifs sont prévus.

Tout d’abord, une tranche de l’offre (dont la proportion reste à préciser) sera réservée aux particuliers, qui vont bénéficier d’une décote de 2% par

8 commentaires

  • 18 octobre 21:48

    Les particuliers investisseurs se font souvent "rincer" lors des privatisations. Ils se souviendront notamment de France Télécom en 1997, -50% depuis sa privatisation, maintenant sous le nom d'Orange, de Gaz de France, devenue Engie, une belle chute de -45% et cerise sur le gâteau EDF dont le cours de l'action a dévissé de -66% en 12 années. Et pourtant tous ces fleurons français étaient à l'époque vendus comme étant de "bonnes affaires"...


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